Les soeurs(non BSB)

En duo avec mon amie Delphine
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Nous étions, le premier jour de la semaine de Noël. J'avais organisée une surprise pour ma grande sœur! J'arrivais chez elle au Québec, alors qu'elle ne le savait pas. J’avais passée toutes mes années de lycéenne, ainsi que de fac en France. Il était temps que je la revois!! Mes bagages étaient tous prêts, mes billets pour mon vol dans ma poche et c'est ainsi que je partit pour le Québec.

J'étais installée chez moi, dans ma maison que j'avais achetée grâce à mon travail d'agente de voyage. Karina, ma plus jeune soeur habitait chez moi, car j'avais obtenue sa garde. Je m'ennuyais aussi de ma petite soeur qui se trouvait en France. Delphine avait tellement souffert et j'espérais qu'elle ne soit pas seule en ce moment, pour le temps des fêtes.

L'aéroport était bondé! Pas étonnant, nous étions en période des fêtes et de nombreuses personnes retournaient dans leurs familles pour passer les fêtes. Arrivée dans l'avion, assise à ma place respective, toute excitée, je regardais par le hublot de l'avion pour peut-être trouver mon illumination intérieure, trouvée des réponses à des questions jamais résolues. Quoi qu'il en soit, j'étais plongée dans mes pensées.

J'espérais que Delphine m'appelle, car j'étais inquiète de ne pas avoir eu de ses nouvelles depuis un certain temps. J'emballais les derniers cadeaux pour les mettre sous le sapin de Noël. Mon horaire était tout fait jusqu'au jour de l'an. Karina faisait sa dernière journée d'école avant les grandes vacances du temps des fêtes et j'avais prévue une grosse surprise pour elle. Je devais aussi envoyée son cadeau à Delphine par le courrier postal. Avant que le courrier cesse pour la durée du temps des fêtes.

Il avait fallu pas mal d'heures de vol pour arriver à l'aéroport de Montréal, mais j'étais enfin arrivée! Je pris un taxi et lui indiquais le chemin à prendre. Les routes étaient d'un blanc somptueux tout le long du trajet. Des enfants s'amusaient à faire des familles de bonhommes de neige et ils faisaient de la luge. Tout l'esprit enfantin était aux premières loges pour ces jours de fêtes.

Je venais de terminée mes derniers cadeaux, quand j'entendit quelqu'un cogner à la porte de la maison. Je traversais le hall d'entrée pour aller ouvrir.

J’ouvris la porte et je restais sans voix. Delphine se trouvait devant moi, les larmes aux yeux. - Coucou grande soeur!!! S’exclama Delphine avec bonheur. - Joyeux Noël!!!! S’écria Delphine avec un grand sourire, car elle avait passer tellement d’année loin de sa grande sœur. - À toi aussi ma puce! Entre, ne reste pas là, dis-je tout doucement. Rien n’avait changé. Tout était aussi parfait qu'avant. Ma soeur était rayonnante en ces vacances de Noël. Tout était décoré, en donnant en ces lieux un air de paradis. J'entrais comme si j'étais une enfant.

- Alors qu'avais-tu préparé pour Noël? Car maintenant que je suis là, je veux me mettre aussi au travail, demanda Delphine. - Tout est presque prêt, répondis-je avec douceur. - Demain j'irais en ville faire des emplettes après t'avoir aidé, car j'ai quelques cadeaux à acheter, dit Delphine. - Tu as mangé j'espère? Je ne veux pas te déranger pendant ton repas, demanda Delphine. Je me sentais légèrement gênée. Je ne savais pas pourquoi. Peut-être avec toutes les années de séparation. - Tu es ici chez toi choupette et jamais tu ne me dérangera, répondis-je, en la prenant dans mes bras et d'une voix rassurante. Ça faisait du bien de sentir enfin sa chaleur si réconfortante! Elle me serra dans ses bras avec une telle douceur, qu'on aurait pu la comparer avec du miel. - Tu as besoin de vêtements chauds et d'un bon chocolat chaud, déclarais-je. - Oui c'est vrai. Je trouve que l'hiver est beaucoup plus rude que les années passées. La neige tient bon. Je pense qu'il va y avoir pas mal de routes bloquées cette année. J'espère qu'il n’y aura pas de victimes sur la route. Je ne veux pas de vacances gâchées par des nouvelles sordides, ajouta ma jeune sœur.

- Calme toi, tu es en sécurité ici, ajoutais-je, en la bercent contre moi pour la sécuriser. - C'est Noël!! Enfin de compte, tout le monde va faire attention pour être avec sa famille et moi la première, dit Delphine, en prenant sa soeur par les épaules et lui donnais un bisou sur la joue charger d'amour. - Tu es ici chez toi pitchoune, dis-je de ma douce voix. -Si on bougeait un peu? On ne va pas rester planté dans l'entrée toute la soirée, demanda Delphine, en rigolant. - Allez, on va aller te mettre d'autres vêtements pour te réchauffer, répondis-je. Je la suivie dans la maison, en regardant tout autour de moi et en sentant chaque odeur pour me rappeler le bon vieux temps. Les bons souvenirs m'envahirent rapidement. - Ne t'inquiète pas pour le repas, il est encore tôt et Karina n'est pas encore arrivée de l'école, ajoutais-je, en montant les escaliers vers l'étage supérieur.

Elle m'amena alors dans ma chambre d'enfance. Elle était toujours comme avant, en gardant mon côté d'esprit rebelle et rock. - Tu n'as rien touchée? Tu pouvais tout changer tu sais. Ça ne me dérange pas, demanda Delphine. - Non, je voulais le faire avec toi, répondis-je tout doucement. Je ne savais vraiment pas quoi dire. - Ne touchons à rien alors. Laissons ça comme ça, ajouta Delphine.

- Qu'as-tu de beau à me raconter depuis toutes ses années? Demanda Delphine. - Je te raconterais tout, en prenant notre chocolat chaud devant le feu de foyer, répondis-je, en souriant et en sortant des vêtements chauds du placard. Je commençais à m'habiller. Je recommençais à avoir chaud. Mes membres avaient été engourdis par le froid. - Allons prendre un chocolat chaud en attendant Karina. À quelle l'heure rentre-t-elle d'habitude? Demanda ma jeune sœur. - Elle ne devrais pas tarder, répondis-je. Je suivis ma soeur jusque dans la cuisine où se dégageait une odeur des plus savoureuses. Je préparais le chocolat chaud en chantonnant joyeusement.

- Au fait, tu as eu des nouvelles de papa et maman? Depuis que je suis repartie en France, je n'ai pas eu de leurs nouvelles, demanda Delphine, en regardant sa grande soeur faire le chocolat chaud. - Bien sûr punaise, ils m'appellent à toutes les semaines, répondis-je tout doucement. -Comment ça punaise? Il s'est passé quelque chose de grave? Demanda Delphine avec inquiétude. - Bien sûr que non pitchoune, ils vont parfaitement bien, répondis-je, en souriant et d'une voix rassurante. -Ouf!! Tu m'as fait peur pendant 30 secondes, dit Delphine, en soupirant de soulagement. Delphine commença à rire de son rire enfantin.

Tout à coup, la sonnette retentit. (Ah!! Ça doit être Karina ça), pensa Delphine, en souriant. Karina entra dans la maison en s'écriant:- Maman je suis là! Delphine se tus pendant quelques instants pour faire la surprise à Karina. Karina entra dans la cuisine et s'arrêta soudainement en apercevant Delphine. - Qu'est-ce qui t'arrive ma puce? Tu as perdu ta langue? Demanda Sara-Morgane tendrement. - Tu es vraiment ici? Répondit Karina de sa voix enfantine. - Oui, en chair et en os. C'est bien moi ma grande, ajouta Delphine, en lui souriant. Karina fit un grand sourire et se jeta dans les bras de Delphine. - Qu’est-ce que tu as à me raconter ma grande? Demanda Delphine. - Tu m’as manquer marraine! Répondit Karina joyeusement. - Merci ma puce. Toi aussi tu m'as manquer! Dit Delphine. - Elle n'avais que six ans la dernière fois quelle t'a vue, dit Sara-Morgane tout doucement. - Je suis partie aussi longtemps que ça? Demanda Delphine, en écarquillant ses yeux. - Oui, puisque Karina aura onze ans cet été, répondit Sara-Morgane avec douceur. - Mon dieu! J'ai passée beaucoup trop de temps en France et je vais me rattraper, ajouta Delphine. - Qu'est-ce que tu voudras faire demain Karina? Demanda Delphine. - Aller acheter les cadeaux! Répondit Karina. - On ira demain en ville faire des emplettes pour ravir tout le monde, ça me fera sortir en plus, dit Delphine.

- Le repas est prêt! Ajouta Sara-Morgane, en sortant le repas du four. - Mangé!!!!!! Trop bien!! J'ai une faim de loup!!! Qu'est-ce qu'on mange? Demanda Delphine avec précipitation. Sara-Morgane éclata de rire et répondit:- Du ragoût de boulette de viande - Boulette de viande!!! J'adore!!! S’exclama Delphine, en se précipitant vers la table, avec presque de la salive sur les lèvres. - Ils ne te donnaient pas à manger en France? Demanda Sara-Morgane avec inquiétude. - Si bien sûr, la nourriture française est l'une des plus convoitées, mais la nourriture québécoise me manquait, répondit Delphine, en souriant. - Tu as perdu du poids choupette, dit Sara-Morgane tout doucement. - Ça m’a fait du bien d'en perdre un peu maintenant que je suis là, mes bonne vieilles habitudes de vorace vont reprendre le dessus, ajouta Delphine. - Il s'est passée quelque chose que tu ne veux pas me dire puce, ajouta Sara-Morgane avec douceur. - Non, non. Pas du tout, tout va bien. Il ne mais rien arrivée, dit Delphine trop rapidement. Elle commença à rougir énormément. On aurait pu faire cuir un oeuf sur ses joues. - Tu ne sais pas mentir cocotte, dit Sara-Morgane de sa douce voix. - C'est à dire que, je ne sais pas comment l'expliquer, avoua Delphine, en regardant sa grande soeur avec un air enfantin, comme si elle avais fait une grosse bêtise. - Tu n'as pas à avoir peur de me parler petite soeur, tu es en sécurité ici, ajouta Sara-Morgane d'une voix rassurante.

La suite la puce !

La suite viendra aussitôt que delph aura du temps